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Les arpenteurs du monde, by Daniel Kehlmann
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Détails sur le produit
Broché: 298 pages
Editeur : Actes Sud (3 février 2009)
Collection : Babel noir
Langue : Français
ISBN-10: 2742780610
ISBN-13: 978-2742780617
Dimensions du produit:
11,1 x 2,4 x 17,6 cm
Moyenne des commentaires client :
3.8 étoiles sur 5
18 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
105.329 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Ce livre est un roman vraiment complet : historique, philosophique (sans pédanterie) et d'aventures. Il nous fait découvrir les existences diamétralement opposées de deux génies scientifiques (fin XVIIIe - début XIXe s.) avec beaucoup d'intelligence, mais aussi avec humour.
Ce livre ramène la vie de deux grands scientifiques très différents à leur réactions de tous les jours.Humble et passionnant
Ce qu'il y a de remarquable dans ce livre, c'est le style toujours vif et léger. Cela rend l'histoire piquante. Les portraits des grandes divinités Allemandes en deviennent très amusant. A lire.
après avoir lu la version originale j'avais envie de faire partager ce livre avec mes amis de langue français. Ils ont bien aimé.Merci Monsieur Kehlmann et merci à sa traductrice.
Premier roman de Daniel Kehlmann, Les Arpenteurs Du Monde retrace les vies croisées de deux scientifiques allemands de génie du XIXe siècle : Carl Friederich Gauss d’une part et Alexander Von Humboldt d’autre part. Le premier, surnommé « le prince des mathématiciens », est l’auteur d’immenses travaux dans le domaine des nombres, de l’astronomie et de la physique. (Je suppose qu’une certaine courbe de répartition en cloche n’est pas sans vous rappeler vaguement quelque chose…) Il déteste également voyager. Le second, géographe et naturaliste, ne vit quant à lui que pour sillonner le monde et est considéré comme le fondateur des explorations scientifiques des XIXe et XXe siècles.Après leur rencontre à Berlin en 1828 lors d’un congrès naturaliste, les deux hommes entretiendront une correspondance toute leur vie durant, qui sert de fil conducteur au roman. Tout comme le métier d’arpenteur, qu’ils exerceront tous les deux, lui donnera son titre.Dès les premières pages, le livre de Daniel Kehlmann m’a captivé. Lapidaire, son style donne un rythme tendu au récit. Un récit qui mélange avec brio les biographies des deux protagonistes et des éléments de fiction. Les découvertes scientifiques de l’un et de l’autre se succèdent sans temps mort et l’humour – ou plus exactement l’ironie – que manie Kehlmann achève de rendre le roman aussi agréable à lire qu’instructif.Du moins cela fût-il le cas durant les 100 ou 150 premières pages. A la moitié du livre en effet, apparemment raison, tout s’écroule. Le style perd en tension et devient même pataud. Le rythme ralentit. La trame se découd pour devenir sinon incompréhensible, du moins terriblement ennuyeuse. Comme si l’auteur avait cessé de s’intéresser à ce qu’il avait à raconter et avait confié la rédaction de la fin de son roman à quelqu’un d’autre.Le livre m’a donc dans un premier temps captivé. A tel point que je me demandais déjà , après quelques chapitres, quel autre livre de l’auteur j’allais pouvoir lire une fois que j’aurais eu dévoré Les Arpenteurs Du Monde achevé. Malheureusement, la deuxième moitié m’a semblé aussi fastidieuse et indigeste que la première m’avait enthousiasmé. Gloire, seul autre roman de l’auteur que je possède, risque de prendre la poussière quelques temps avant que je ne m’y plonge.Bref, un livre en demi-teinte, aussi captivant au début qu’ennuyeux à la fin. Bizarre… mais décevant…Découvrez mes autres critiques sur mon blog : L'Ivre Lecteur
Daniel Kehlmann (1975) est présenté comme le nouveau génie des lettres allemandes, et, depuis Les Arpenteurs du Monde (2005), chacun de ses écrits traduits en français est présenté comme une preuve de ce génie. Il convenait donc de lire ce sixième (!) roman, Les Arpenteurs du Monde, puisque c’est celui qui lui valut sa renommée.Ce roman évoque la rencontre entre deux personnages historiques, Alexander von Humboldt (1769-1859) et Carl Friedrich Gauss (1777-1855), à Berlin, où le premier est parvenu à convaincre le second de se rendre alors qu’il déteste l’idée même du voyage. Cette rencontre, c’est un peu celle du vent (Humboldt) et de la terre (Gauss), de celui qui a parcouru la moitié du globe, en particulier l’Amérique du Sud (où des écoles portent son nom encore aujourd’hui), pour confronter le savoir de son époque aux faits, aux mesures, et de celui qui aurait préféré ne jamais bouger et a pourtant fait avancer la science de son époque à pas de géant, en mathématiques (la célèbre courbe, c’est lui) qu’en astronomie.Si cette rencontre a jamais eu lieu dans les faits (un historien des sciences pourrait la confirmer, ou l’infirmer), cela importe peu, car ce qui compte, c’est l’allant narratif avec lequel, à partir d’un premier chapitre narrant le départ de Gauss vers Berlin et le début de son trajet, Kehlmann raconte la vie des deux scientifiques, éludant quasi toutes les dates pour se concentrer sur des actes ou paroles marquants. Ceci n’est pas un roman historique ; ceci n’est même pas une double biographie : ceci est le miroitement de deux diamants intellectuels sur leur siècle, et Kehlmann fait tourner ces diamants à la vitesse idéale : suffisamment vite pour ne conserver que l’essentiel, ce qui accroche l’œil du lecteur (mais on est loin de la presse people, Dieu nous en garde), suffisamment lentement pour ne pas réduire ces deux vies passionnantes (oui, même celle de Gauss – mais c’est probablement dû à la capacité de l’auteur de mettre en évidence l’incongru, comme ce moment où Gauss abandonne sa femme durant la nuit de noce pour noter une formule…) à quelques anecdotes disjointes par d’épuisantes ellipses.Il était question d’un miroitement sur le siècle : ce roman est aussi une photographie (ou plutôt, puisqu’il est aussi question de l’inventeur français : d’un daguerréotype) de la société intellectuelle en général, scientifique en particulier, de la fin du dix-huitième siècle et du début du dix-neuvième, Kehlmann s’amusant clairement à faire apparaître au fil des pages le Who’s Who des cerveaux de l’époque, quand bien même ils sont dans l’erreur (ainsi de Goethe, virulent défenseur du « neptunisme » - en gros, une théorie selon laquelle le centre de la Terre est froid, théorie que veut infirmer Humboldt, que l’auteur pose par ailleurs en pasticheur involontaire de… Goethe). Napoléon lui-même est de la partie, puisqu’il se serait, grâce d’un esprit supérieur à un autre esprit supérieur, refusé à bombarder Göttingen sous prétexte que Gauss y séjournait…Diable ! Un roman en forme de name-dropping, jusqu’à la mention de Pouchkine dans les dernières pages, alors ? Eh non, car chaque nom propre est amené sans affectation aucune, comme s’il était un élément indispensable du décor, c’est tout. Et toujours un roman qui file, entre Humboldt qui mesure tout ce qui est mesurable sur l’Orénoque et Gauss engagé comme vulgaire géomètre en Allemagne, entre le sédentaire qui parvient à calculer la trajectoire d’un corps céleste et le voyageur qui tient un journal précis de ses pérégrinations scientifiques (avec quelques petits accès fictionnels de la part de Kehlmann, qui évoque ainsi des épisodes vécus par Humboldt mais que celui-ci aurait préféré ne pas noter…). Et partout, vraiment partout, de petites pointes humoristiques, de brefs passages légèrement ironiques, tel celui-ci, montrant l’obsession mathématique de Gauss même au mitan d’une réception officielle : « Gauss calcula rapidement que chez lui il lui faudrait à peu près un an et sept mois pour rencontrer autant de gens. Il voulait rentrer à la maison. La moitié des hommes portaient l’uniforme, un tiers la moustache. Seul un septième des personnes présentes étaient des femmes, seul un quart d’entre elles avaient moins de trente ans, seules deux n’étaient pas laides, et il n’y en avait qu’une seule qu’il aurait volontiers touchée, mais quelques secondes après sa révérence elle avait déjà disparu. »L’ensemble, soutenu en plus par un art consommé du dialogue (des répliques de longueur réaliste, mais sans tirets, comme pour accentuer l’aspect fluide du double récit), montre deux êtres humains, pas des bêtes de foire, aux aspirations hautes, très hautes (« Le cosmos serait alors percé à jour, toutes les épreuves liées aux commencements de l’humanité, telles que la peur, la guerre et l’exploitation de l’homme, feraient partie du passé, et voilà à quoi l’Allemagne et notamment les savants de cette assemblée allaient devoir contribuer en priorité. »), dans une société qui a encore des rêves, qui a encore des tas de choses à découvrir. C’est peut-être l’une des raisons du succès de ce roman : l’exaltation du désir scientifique, du plus prosaïque (le curare comme anesthésiant ? en tout cas, une autre façon de traiter les dents douloureuses) au plus éthéré (les concepts mathématiques de Gauss entre autres), une exaltation retombée aujourd’hui que la science a montré sa face obscure et qu’elle n’offre plus guère que des variations, aussi remarquables soient-elles. Oui, ce doit être ça : Kehlmann a écrit un roman vivifiant au possible sur une foi qui n’a plus guère de pratiquants aujourd’hui : celle en une science porteuse de mieux-être pour chacun. Pour peu, à la réjouissante lecture des Arpenteurs du Monde, on y croirait à nouveau.
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